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Empruntant le style de la propagande soviétique animée, une réflexion sur les complexités du matérialisme et de la surconsommation au sein de la communauté noire.

Alors que les conflits et les frustrations de notre époque se multiplient et s’intensifient, oublions-nous ce qui compte vraiment? Un splendide détour vers une riche réflexion.

Diverses créatures sont responsables du divertissement lors d’un banquet royal, mais les aristocrates vont éventuellement trop loin dans la cruauté. Un bijou en noir et blanc, hilarant et horrifiant, entiè...

Le premier d’une série de courts-métrages d’animation jumelant des cinéastes à des auteurs voit Koji Yamamura (DOZENS OF NORTHS) adapter une histoire de Hideo Furukawa.

Une fugue kaléidoscopique et polychromatique concoctée par le cinéaste hongkongais Ho Tsz-wing, un spécialiste des abstractions géométriques hypnotiques, avec une musique propulsive d’Errol Leung.

Une mélodie portée par le vent attire l’attention d’un petit lutin des bois. Un film d’animation en volume tourné en extérieur avec des matières naturelles. Une charmante célébration du renouveau saisonnie...

Une entité titanesque et translucide s’éveille au sein d’un monde primitif dans ce fascinant extrait d’un projet en développement du studio new-yorkais Nathan Love.

Avec une musique accrocheuse, des couleurs vives et un rythme enlevant, Che Meiyi réinvente un conte traditionnel et pose la question suivante : comment les ancêtres auraient-ils fait la fête aujourd’hui?

L’aventure hallucinatoire de l’écolier égoïste Minsu vers l’amélioration personnelle. Une leçon de vie simple, mais importante, glissée dans un exercice de style étrange, audacieux et ravissant.

Un oiseau emprisonné, un coucher de soleil au sommet d’une montagne, un tableau dans un musée – un magnifique poème sans mots, tiré de DAISAKUSEN!, une série de micro-courts du studio d’anime Science SARU.

Singapour passe de réservé et prudent à une frénésie colorée de chant et de danse. Dansons le twist, tout le monde!

Un jazzman vieillissant doit explorer son passé et faire la paix avec ses démons personnels dans ce touchant récit raconté avec divers styles d’animation.

Avec un style exquis, la cinéaste d’animation britannique Anna-Ester Volozh livre un conte de fées féministe, subversif et très sombre qui remet en question le patriarcat.

Un exercice d’animation en volume apparemment simple, inspiré des principes des échecs chinois, le plus vieux jeu de société existant encore.

La promotion 1975 de l'université Concordia (avec leurs coupes de cheveux douteuses) est hachée et mélangée dans cette déroutante incursion dans les corridors de la mémoire.