Présenté par Cinémania
Le Comte de Monte-Cristo
Réalisé par Alexandre De la Patelière, Matthieu Delaporte
Selection officielle
Cannes 2024
Réalisateur
Alexandre De la Patellière, Matthieu Delaporte
Producteur
Dimitri Rassam
Scénario
Alexandre De la Patellière, Matthieu Delaporte
Interprètes
Bastien Bouillon, Anaïs Demoustier, Laurent Lafitte, Pierre Niney, Anamaria Vartolomei
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Sphère Films
Nous sommes en 1815 à Marseille où le jeune Edmond Dantès vient d’être promu capitaine et se prépare à épouser sa tendre Mercedes. Malheureusement pour lui, la trahison de certains collègues jaloux l’amènera à pourrir dans le fond d’une geôle du château d’If durant 14 ans où il rencontrera l’abbé Faria qui lui enseignera les langues, l’histoire, les armes, mais également l’emplacement d’un trésor pharaonesque, afin qu’un jour il puisse corriger l’affront qui lui a été fait. Il parvient à s’échapper et à s’emparer de la fortune des Templiers avant de rentrer chez lui et d’enfin orchestrer sa vengeance impitoyable.
Créé par le grand Alexandre Dumas au milieu du XIXe siècle, Edmond Dantès est l’un des personnages les plus célébrés de la littérature française et le récit de sa vengeance a marqué la culture populaire mondiale à travers d’innombrables œuvres. Pensez à Batman par exemple, alors que les similitudes entre Bruce Wayne et Dantès sautent aux yeux. Cette nouvelle adaptation cinématographique signée Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, les scénaristes du récent diptyque LES TROIS MOUSQUETAIRES qui passent cette fois à la réalisation, prend le pari génial de se réapproprier subtilement l’influence pop culturelle de Monte-Cristo à son propre profit au moyen de certains designs et ambiances, mais particulièrement en iconisant Dantès comme on le ferait dans un film de superhéros tout en conservant le classicisme de l’œuvre à travers sa direction artistique grandiose. Dans le rôle-titre, Pierre Niney brille de tous ses feux en transposant les étapes de l’évolution de Dantès en Monte-Cristo avec une sobriété exemplaire et un charisme envoûtant. Pour un vrai moment de cinéma à grand déploiement à la beauté somptueuse qui respecte le récit original en y ajoutant des éléments plus contemporains bienvenus, comme en témoigne l’accueil triomphal qu’a reçu LE COMTE DE MONTE-CRISTO au dernier Festival de Cannes, c’est ici que ça se passe. – Nicolas Archambault
Représentations
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